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Cette histoire est une fiction.
Les noms des personnages et les faits sont fictifs.
Toute ressemblance avec des personnes ou des situations réelles ou ayant existées ne serait que pure coïncidence.
Partie 15: Accrochage
Résumé de la partie
précédente : Le médecin militaire allemand KRUPP est en compagnie du
lieutenant allemand CITIZEN’S dans le massif de l’Adrar, zone montagneuse du
Mali et difficile d’accès. Ils sont partis pour faire une patrouille de 3 jours
dans ce secteur… La suite c’est maintenant…
Adrar des Ifoghas,
jeudi, 10h21
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « Bon.
Rien de suspect à l’horizon… Continuons sur la gauche ! »
Arnold KRUPP : « Vous aviez raison
hier soir, c’est déconcertant cet endroit… »
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : «
Oui. Un vrai labyrinthe. L’ennemi peut se cacher dans n’importe quel
recoin qu’offre les cavités de cet endroit… »
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « Mais
grâce à nos lunettes infrarouges, cela nous permet de détecter la chaleur de personnes qui nous observent… »
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « Et le
chien est toujours devant pour détecter des explosifs en plus de notre
détecteur… »
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « Allez
en avant !!! »
1 heure plus tard
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « On
tourne à gauche ! »
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « Bon,
on a progressé de 3 kms, ce qui n'est pas mal dans ce paysage lunaire… »
Lieutenant Stanislas CITIZEN’S : « On va
pouvoir se poser là. Avec nos 30 kilos sur le dos. Il faut que l’on souffle et
que l’on boit… »
Arnold KRUPP : « Oui, en effet. Le
risque de déshydratation est important ici. De même, il faut manger
régulièrement pour avoir les forces nécessaires pour progresser et… »
Arnold KRUPP : « Le lieutenant est
touché !!! »
Arnold KRUPP : « Aidez moi à le
mettre à couvert et couvrez nous !!! »
Arnold KRUPP : « Là, à
droite !!! Emmenez le là !!! »
Sergent Kurk ATALANTE : « ON NOUS TIRE DESSUS !!! TOUS à
COUVERT ! »
Sergent Kurk ATALANTE : « CESSEZ LE
FEU !!! Quelqu’un a vu d’où cela a tiré ??? »
Caporal Peter
HAMMER : « ça venait de derrière nous !!! »
Arnold KRUPP : « Il est blessé à
l’épaule. Il faut que je compresse l’endroit où il est blessé… »
Arnold KRUPP : « Sergent ATALANTE,
il faut que l’on se dégage de là. Le lieutenant est sévèrement touché… »
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